Lorsqu’un être cher décède, la tristesse ne tarde pas longtemps à envahir notre quotidien. Pourtant, il est nécessaire de faire fi de ce douloureux chagrin afin de s’appliquer à rendre hommage au défunt. Mais attention, on n’appréhende pas la mort de la même manière aux quatre coins du globe. Nos rites ont également profondément évolués avec les époques. Ces derniers sont aussi influencés par la religion. Faisons le point sur ces rituels de passage.
Un rite, qu’est-ce que c’est?
Le rite funéraire, également appelé rite de funérailles, est l’ensemble des gestes et des paroles qui accompagnent la mort d’un être. Les anthropologues s’accordent à dire que les rites funéraires sont l’un des fondements du passage à la civilisation.
Le rituel funéraire chez nous
En Europe, les rituels funéraires consistent à veiller le corps durant une poignée de jours afin que les proches puissent marquer leur soutien à la famille du défunt, s’ensuit alors, éventuellement, une cérémonie religieuse avant la mise en terre ou l’inhumation selon le choix. Lors de ce dernier au revoir, il est généralement bienvenu de témoigner son affection et sa tristesse par le biais de fleurs ou de couronnes mortuaires.
L’ensemble de ce processus est aujourd’hui profondément ancré dans nos coutumes au point qu’il nous semble naturel d’agir de la sorte. Et pourtant, l’est-ce réellement?
Le rite funéraire à travers les époques, les lieux et les religions
L’ensemble de l’humanité n’appréhende pas la mort de la même manière. Dans la Rome antique, par exemple, ces pratiques sont influencées par l’appartenance à une classe sociale. Si les pauvres étaient jetés sans vergogne et sans cérémonie au fond de fosses communes, il n’en allait pas de même pour les plus fortunés. Dans l’Égypte antique, on croyait en l’immortalité. La conservation du corps était donc un point crucial, raison pour laquelle s’est développée la momification.
Pour les bouddhistes, la mort fait partie intégrante de la vie. De ce fait, ils ne la considèrent pas de manière tragique. Lorsqu’un être cher s’en va, il ne manifestent aucune tristesse de façon à ce que le mourant quitte ce monde dans la quiétude et l’apaisement.
Chez nous, la mort est un déchirement. Dans un souci de facilité et de détachement, nous faisons généralement appel aux services de pompes funèbres. Si vous êtes à la recherche d’un funérarium à Bressoux, contactez les pompes funèbres Clerdent. Écoute, soutien et services sont leurs maîtres mots.
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